jene supporte plus lalcool enceinte. kristin cavallari pasta; music youtube google; big thicket national preserve deaths; Hello world! September 10, 2020. Published by at June 22, 2022. Categories . todd j vasos political party; Tags Malheureusment tant qu il n aura pas la volonté d arrêter, tu ne pourras pas y faire grand chose.3 janv. 2011 Au cours de la dernière période, j'ai cessé beaucoup de pratiques prohibées que je Bien que mon mari soit un médecin, il boit du vin. ne soit transmise à mes enfants , si mon mari ne change pas de comportement. Nous demandons Carc'est quand même une démarche originale que de vouloir à tout prix continuer à partager l'appartement de quelqu'un qui ne vous supporte plus. Le regard compatissant de son amant sur son mari exaspère Marie-Do. Antoine irait preque jusqu'à comprendre Bertrand : un comble ! Elle finira par découvrir la vraie nature d'Antoine : scénariste, il passe son temps à Fast Money. 12 FÉVR. 2020 Cette réponse a été utile à 2 personnesBonjour, Votre conjoint boit régulièrement et vous semblez inquiète, l'aider est très difficile compte tenu que vous décrivez une situation difficile à assumer pour lui bouteilles dissimulées. Lorsqu'un personne est dépendante à un produit notamment l'alcool, la raison n'a pas sa place, il est convaincu que boire modérement serait mieux pour lui, par contre il lui est difficile de l'appliquer. Vous dites qu'il consomme de l'alcool depuis que vous le connaissez, "l'amour rend aveugle", comme lui vous n'avez pas vu le problème tout de suite. De son côté il lui faudra probablement plus de temps que vous pour se rendre compte des problèmes liés à sa consommation problématique. C'est tout à votre honneur que de vouloir l'aider toutefois il s'agit de sa difficulté et il doit certainement souffrir de vous faire souffrir. S'il consomme de l'alcool de façon problématique c'est qu'il a ses raisons, parfois inconsciente mais en aucun cas vous en êtes responsable. Lui exprimer votre inquiétude, lui rapporter ce que vous observer des conséquences liées à sa consommation retard, anxiété, oubli, agressivité, accident... est votre moyen de l'aider à se rendre compte de la situation. Une personne dépendante ou présentant une consommation d'alcool problématique trouve plus de bénéfices à boire pour oublier, supporter, ne pas souffrir de certaines peines enfouies, plutôt que des inconvénients. Pensez à vous et protéger vous, parlez lui de votre tristesse face à la situation, parlez lui de vos craintes, la communication est le meilleur moyen de lui faire part de votre inquiétude car lui seul peut envisager d'arrêter sa consommation. Vous pouvez être soutenue dans votre démarche auprès de professionnels de structures spécialisées appelées Centre de Soins d'Accompagnement et de Préventions en Addictologie, il en existe dans tout les départements, les consultations sont gratuites et confidentielles. N'hésitez pas à lui parler de vos démarche, çà pourrait lui donner envie de vous accompagner. Rdah TOUALI Psychologue spécialisée en Addictologie Aujourd’hui, je laisse la parole à une maman d’une tribu XXL, assistante familiale ou famille d’accueil. Elle a elle-même été accueillie dans la famille de la nounou en or qui me gardait étant petite… et qui a transmis le virus à ses enfants! Cette maman est mariée avec le fils de ma nounou en or… bref, être assistant familial, c’est une histoire et un héritage familial! Si ce métier est l’un des plus beaux, je ne vais pas vous livrer un récit idyllique de la famille d’accueil… Non. C’est un récit dur, qui m’a bouleversé… On imagine tous que ce métier est difficile, que rien n’est tout rose… mais quand ça tourne au cauchemars? Quand ce métier qu’on choisit et qu’on exerce avec son coeur détruit sa propre famille ? Je vous laisse découvrir son histoire, leur histoire… qui restera en anonyme, vous comprendrez vite pourquoi *** Bonjour Christelle, peux tu te présenter, nous en dire un peu plus sur toi, sur ta famille? Je suis assistante familiale depuis presque 8 ans. J’ai 6 enfants, bientôt 7… 5 garçons et une fille 18 ans, 17 ans, 15 ans, 12 ans, 9 ans, 8 ans Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir assistante familiale? J’ai cette envie depuis que j’ai l’âge de 15 /16 ans . J’ai vécu moi-même en famille d’accueil de 13 à 18 ans. Quelles sont les démarches pour obtenir l’agrément d’assistant familial? Est-ce long? Il faut quatre mois à partir de la réception de votre dossier. Il faut en faire la demande auprès du Conseil Général, ensuite il y aura la visite d’une assistante sociale, d’une éducatrice et voir même d’une puéricultrice. Mais il ne suffit pas d’obtenir l’agrément, il faut se faire recruter par un service d’accueil familial. On nous fournit la liste avec l’agrément. Et ce sont eux qui viennent chez vous à leur tour pour faire la visite de la maison etc. Un peu comme pour l’obtention de l’agrément. Ensuite, il y a une visite chez le psychologue du service et un rendez vous avec la direction. Ensuite, votre employeur vous fera faire une formation obligatoire de 60h, qui sera suivie d’une seconde formation de 240h avec possibilité de passer un diplôme d’état. Comment préparer son conjoint et surtout ses enfants à ce choix professionnel? Mon conjoint connaissait déjà ce métier car sa maman l’exerce depuis qu’il a 6 ans. Mes enfants étaient d’accord sauf un, donc j’ai rempli les papiers et je lui ai dit que je l’enverrais lorsqu’il serait d’accord. A force de discussions, il a accepté. Il connaissait aussi ce métier par mamie. A quelles difficultés es-tu confrontée au quotidien? N’est-ce pas parfois difficile de conserver l’harmonie familiale? Qu’est-ce qui est le plus dur pour toi, pour vous? Pour le premier accueil tout s’est super bien passé. Nous avons accueillis une petite fille de 4 mois et demi, les garçons étaient ravis, elle s’est très bien adaptée. La grosse difficulté, c’était la situation de cette petite fille adorable, pas de visite du tout, abandon de la maman pas de papa. Il faut s’attacher mais pas trop car ce n’est pas votre enfant et quand c’est un bébé et qu’il n’a aucun lien avec ses parents… dur dur… Finalement, elle est devenue adoptable à l’âge de 3 ans et nous avons pu l’adopter avec une grande joie pour toute la famille ! Pour le deuxième accueil, un petit garçon de 4 ans… du même âge que mon dernier garçon à ce moment là. Il a du quitter sa famille d’accueil en urgence sur décision du juge des enfants car sa maman avait déjà rapté deux enfants de la fratrie dans les familles d’accueils. Il a très mal vécu la séparation… il a bien mis deux ans à s’adapter et c’est le temps qu’il avait mis pour s’adapter dans sa première famille . Nous avons eu le droit à des pipis culotte, selles, inondation du lit malgré la couche… Il a aussi cassé énormément de jouets de mes enfants. Il était vraiment perturbé et quand nous partions en vacances tout cela empirait… Il était content de partir avec nous mais le changement de lieu de vie le déstabilisait. Heureusement, avec le temps ça s’est calmé. Mais c’est resté un enfant plus ou moins difficile à la maison comme a l’école ou en colo. Ensuite, c’est mon mari qui est devenu à son tour assistant familial, nous avons accueilli la petite soeur du garçon, une petite fille de deux ans super et ça a fait un grand bien à son frère, il était vraiment heureux! Nous avons aussi fait beaucoup de relais accueillir des enfants qui sont placés chez des collègues qui partent en vacances sans eux ou pour des weekends. Il y a eu vraiment de belles rencontres des jeunes supers! A cette période de notre vie nous étions très heureux et contents de notre choix de vie. Passons au plus dur … Mon mari a obtenu un deuxième agrément. Un jeune mineur isolé qui avait soit disant 10 ans… par la suite nous avons appris qu’il avait en réalité 14 ans… Il était en France depuis un an et était passé par un foyer à son arrivée. Nous étions la troisième famille, il avait épuisé les deux autres… Il ne devait rester que le temps de lui trouver un foyer. Finalement, après un temps d’adaptation où il a essayé de faire sa loi… Pour lui les plus petits et les femmes ne sont rien et il peut crier ou donner des ordres sans soucis !… Il ne s’est pas si mal adapté à notre famille. Il était très serviable, sympathique et nos employeurs étaient très surpris de ce changement radical. Il était devenu très souriant, agréable … bref ! Ils ont décidé qu’il ne partirait pas en foyer puisque tout allait bien. Puis au bout de 6 mois le cauchemar a commencé… Une petite fille qui était venue en relais 18 mois auparavant, a accusé un de nos 5 garçons de lui avoir demandé de lui sucer la quéquette contre une sucette », donc convocation au service de signalement et interrogatoire des quatre enfants accueillis… Cette histoire sera finalement classée sans suite. Il y a eu trois versions de la jeune auprès des gendarmes et nos garçons n’avaient rien fait ! Sauf que le jour où les enfants accueillis ont été interrogés, le jeune mineur isolé a pris peur et a cru que c’était pour lui. Il a avoué au psychologue du service qu’il violait notre fille de 6 ans régulièrement la nuit… Nous, on nous a dit qu’il partait, que nous devions parler avec notre petite… qu’il s’était passé des choses mais quoi ? Pas de réponses… secret professionnel! Après enquête, audition de notre fille, examens médicaux et les aveux complets du jeune, qui lui pensait n’avoir rien fait de mal puisqu’il était amoureux, nous avons su… S’en est suivi le retrait des trois autres enfants dont une de trois ans en cours d’adoption on nous avait demandé de nous prononcer pour sa future adoption et nous étions encore une fois d’accord. Retrait également des agréments. Après trois mois, nous les avons récupéré devant une commission qui nous a donné raison! Mais, on ne nous confie toujours pas d’accueils, notre employeur nous accuse d’un manque de vigilance car nous n’avions rien vu rien entendu… mais c’était au milieu de la nuit! L’avocat est outré ainsi que les gendarmes et les membres de la force ouvrière… En me renseignant auprès des collègues, j’ai appris que la première famille avait eu des soucis avec l’école. Plus aucune petite fille ne voulait y aller car ce mineur isolé leur touchait les fesses et les seins! Selon eux c’est un problème de culture… J’apprend aussi que cette collègue a été licenciée, et qu’il y avait eu aussi des soucis dans son foyer a son arrivée en France! Personne ne nous avait rien dit !! Quelles sont les conséquences d’une telle situation ? Quand il y a suppression de l’agrément cela dure maximum 4 mois avant de passer en commission et le salaire est d’environ 200€ apparemment il est rare de retrouver son agrément après une suppression et si l’assistant familial retrouve son agrément il passera en indemnité d’attente, soit environ 400€ pendant maximum 4 mois… Ensuite soit l’employeur vous licencie ou vous redonne un accueil ou bien comme pour nous pas d’accueil ,pas de licenciement mais nous retouchons nos salaires , en attendant la fin de la procédure ou un licenciement… Nous vivons cette situation depuis 19 mois n’avons plus le droit de voir les enfants accueillis ,ni le droit de téléphoner nous envoyons des cartes pour les anniversaires mais doutons très fortement que les enfants ait leur courrier car nous devons passer par le service . Nos enfants souffrent énormément de cette situation et de cette séparation et nous aussi. Nous essayons de nous reconstruire mais notre vie est entre parenthèse c’est difficile… As-tu quelque chose à ajouter ? J’ai répondu à cette interview non pour dégoûter de ce métier ou faire peur, mais pour mettre en garde. Mes beaux-parents et quatre de mes beaux-frères et belles-soeurs exercent le même métier et ne rencontrent pas les mêmes choses et heureusement! Mais si notre histoire peut mettre en garde au moins ce sera déjà ça. Il faut savoir que sur la parole d’un enfant nous, nos maris, nos enfants peuvent se retrouver auditionnés par les gendarmes ou voir mis en garde à vue alors qu’ils sont innocents… Mon fils de 11 ans n’a pas bien vécu cette situation, lui qui rêvait d’être gendarme ou policier s’est retrouvé accusé et auditionné. C’est très impressionnant pour un enfant et d’être accusé comme ça il n’a pas compris et ça l’a dégoûté, il ne veut plus être gendarme ou autre… Si vous pouviez revenir en arrière quels seraient vos choix? Si nous pouvions retourner en arrière mon mari et moi resterions sur notre position de départ car nous avions demandé à accueillir une petite fille afin de n’avoir un étage qu’avec des filles mais ils nous ont proposé ce jeune… J’aimais vraiment ce métier et il y a beaucoup de jeunes très biens et qui se comportent très bien en famille. La famille d’accueil est une chance pour se reconstruire et avoir le modéle d’une famille qui fonctionne bien pour ensuite pouvoir se reconstruire et avoir un jour une famille à soi . Nous gardons espoir et espérons qu’il y aura une fin heureuse et espérons que ce n’est qu’un mauvais passage de notre vie. Ce bébé qui va bientôt arriver a été conçu pour panser nos coeurs et nous redonner un peu de joie de vivre et de bonheur, mais jamais il ne remplacera cette adorable petite fille que nous devions adopter. Si elle ne revient pas nos coeurs en garderont la cicatrice à vie… » Merci pour ce témoignage bouleversant <3 À propos Articles récents Maman multi-casquettes, un brin écolo et pratiquant l'instruction en famille. Résolument optimiste, j'espère vous transmettre ma bonne humeur et ma douceur! Pour en savoir plus sur moi c'est par ici ! Télécharger l'article Télécharger l'article Il est difficile de faire face à l'alcoolisme dans un mariage. Vous pouvez avoir l'impression d'avoir perdu votre conjoint et vouloir le récupérer, quand il est en colère et presque méconnaissable. On peut devenir alcoolique quand on a des problèmes à la maison ou au travail ou à l'école à cause de la consommation d'alcool, quand on boit dans des situations à risque par exemple en conduisant, quand on a été blessé ou lorsque l'on a blessé une personne en étant ivre, quand on a essayé d'arrêter de boire sans y arriver efficacement ou quand on trouve des excuses ou ment au sujet de son alcoolisme [1] . Certes, il peut être difficile d'être mariée à un alcoolique, mais il existe quelques mesures que vous pouvez prendre pour aider votre époux et l'encourager à suivre un traitement. 1 Signalez tout abus. Parfois, les alcooliques peuvent devenir agressifs, car l'alcool est souvent associé à la violence [2] . Si votre conjoint vous frappe, vous menace ou vous fait du mal de quelque façon que ce soit, trouvez un refuge et dénoncez-le. Ne le protégez pas en gardant cela secret. Dites-le à votre mère ou à votre père, à votre sœur, à votre voisin, à votre meilleure amie ou à un guide spirituel. Accordez toujours la priorité à votre sécurité. Vous pouvez vous faire aider en appelant un service d'assistance téléphonique en cas de violence conjugale. France appelez SOS femme violence conjugale au 39 - 19. Belgique appelez le Centre de prévention des violences conjugales et familiales au numéro 02 539 27 44. Canada appelez SOS violence conjugale au 1 800 363-9010. Autres pays visitez cette page pour trouver une liste mondiale de lignes d'assistance téléphonique et de centres de secours d'urgence. 2 Approchez-le d'une manière non menaçante. Gardez une intonation de voix normale et parlez-lui sans utiliser des propos sévères ou désobligeants [3] . Par exemple, évitez de le traiter d' ivrogne » ou d'alcoolique sur le moment. Évitez de vous quereller et parlez plutôt d'une manière calme et affirmative. Si votre conjoint commence à se mettre en colère ou à vouloir se battre, dites-lui calmement que ce n'est pas le bon moment et que vous pourrez en reparler plus tard. Évitez à tout prix de vous quereller. Il pourrait vous attaquer physiquement. Ne répondez pas en étant en colère, même si c'est difficile à faire. 3 Offrez-lui des boissons sans alcool et de la nourriture. Plutôt que de le dissuader de consommer de l'alcool, donnez-lui de la nourriture et des boissons sans alcool [4] . Encouragez-le à manger ou à s'hydrater avec de l'eau. Distrayez-le avec cela pour qu'il soit moins tenté de boire de l'alcool. S'il vous demande de le servir de l'alcool, offrez-lui plutôt un soda. 4 Trouvez un compromis. S'il insiste pour avoir un verre ou pour aller quelque part, essayez de parvenir à un compromis [5] . Cela ne vaut pas la peine de vous quereller avec lui, car il n'aura pas les idées claires et vous ne voulez surtout pas aggraver la situation. Trouvez un moyen de le rendre heureux sans pour autant être malheureuse. S'il a vraiment envie de prendre de la crème glacée, mais que vous n'en avez pas, donnez-lui des bonbons ou une autre friandise. Si vous voulez sortir sous une pluie battante, dites-lui fermement qu'il pleut et qu'il peut prendre un parapluie ou rester sous une tente. 5 Fixez des limites. Si son alcoolisme vous affecte d'une façon négative, fixez des limites [6] . Dites-lui clairement que vous ne discuterez pas avec lui de la relation quand il est ivre et que vous refuserez d'essayer de résoudre quoi que ce soit s'il est sous l'influence de l'alcool. Interdisez-lui de boire à la maison ou en présence des enfants. Vous pouvez décider de ne pas rester avec lui quand il boit ou refuser de lui parler quand il est ivre. Établissez des limites en tenant compte de vos besoins personnels. Une fois que vous aurez établi des limites, faites-le savoir à votre époux et soyez sure qu'il les a bien compris. 6 Ayez un plan de secours. Si votre mari est ivre et se comporte agressivement au point que vous craignez pour votre sécurité, ayez un plan d'évasion. Envisagez d'appeler quelqu'un tard le soir qui peut vous offrir un lieu sûr où rester. Si vous avez peur de partir avec la voiture, vous pouvez vous arranger pour qu'une amie ou un parent vienne vous chercher. Dites à votre mari calmement que vous allez trouver un endroit sûr pour passer la nuit et que vous reviendrez le lendemain. S'il se met en colère, dites-lui que vous pouvez discuter avec lui plus tard. De cette façon, vous donnez la priorité à votre sécurité. 1 Acceptez tout sentiment de gêne. Il est fort probable que vous vous sentiez mal à l'aise d'avoir cette discussion délicate avec votre mari. Toutefois, vous ne devriez pas laisser cette gêne vous empêcher de vous exprimer. Gardez à l'esprit que la situation que vous vivez actuellement vous met mal à l'aise [7] . Acceptez le fait que, quoi qu'il arrive, discuter de ce problème vous mettra mal à l'aise. Soyez forte et faites le pas. 2 Choisissez le bon moment pour avoir cette conversation. Il est important que vous ne démarriez pas cette discussion lorsque votre partenaire est sous l'emprise de l'alcool ou est sur le point de boire. En lieu et place, choisissez un moment où vous êtes tous deux sobres [8] . Prenez un moment pour discuter du problème pour ne pas avoir à précipiter les choses après. N'essayez pas d'aborder la question lorsque vous êtes en colère ou lorsque vous êtes bouleversée. Si vous vous sentez frustrée lorsque votre mari ouvre une canette de bière, ce n'est pas le moment idéal d'avoir cette conversation. Attendez d'être tous les deux dans un état calme et neutre avant d'entamer la discussion. Peut-être que vous devez planifier du temps pour discuter du problème. 3Parlez-lui avec compassion, ne le jugez pas. Même si vous pouvez facilement porter un jugement, vous mettre en colère et être déçue, soyez compatissante. Vous ne réprimandez pas votre mari, vous lui demandez de se faire aider, pour son propre bien et pour le mieux-être de la famille [9] . Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutiendrez et vous souciez de lui. 4 Dites-lui à quel point son problème vous affecte. Vous pourriez avoir l'impression d'être un second choix lorsqu'il se tourne vers l'alcool avant vous. Vous pouvez même avoir l'impression de ne pas pouvoir rivaliser avec cette relation que votre conjoint entretient avec l'alcool [10] . Bien qu'il puisse subvenir aux besoins financiers de votre famille, si vous avez l'impression qu'il ne vous soutient pas ou la famille suffisamment sur le plan affectif, dites-le-lui. Si vous avez du mal à vous sentir émotionnellement connectée, dites-le-lui aussi. Soyez honnête lorsque vous lui exprimez vos sentiments et votre déception. Dites-lui à quel point son comportement ne vous affecte pas seulement vous, mais aussi d'autres personnes, comme vos enfants, vos amis ou votre famille [11] . 5 Évitez de le blâmer. Exprimez vos sentiments au lieu de blâmer votre époux pour ses problèmes d'alcool [12] . Concentrez-vous sur vous et sur vos sentiments, pas sur lui. Au lieu de dire quelque chose comme, quand tu bois, tu es si distant », dites ceci ça me fait mal de me sentir si loin de toi, et ce lien que nous avions me manque. » Au lieu de dire quelque chose comme tu ne passes pas de temps avec les enfants », dites ceci j'ai du mal à donner aux enfants toute l'attention dont ils ont besoin et j'aimerais que tu m'aides. » 6 Demandez-lui de se faire soigner. Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutenez et que vous souhaitez simplement qu'il soit en bonne santé et heureux. Demandez-lui de chercher un traitement pour son alcoolisme [13] . Vous pouvez lui dire qu'il est difficile de traiter l'alcoolisme sans aide et que s'il reçoit un traitement, cela vous aidera tous les deux à faire face au problème. Le traitement de l'alcoolisme permet également de faire face aux problèmes psychologiques et aux comportements de dépendance qui nuisent à une vie heureuse et épanouie. Vous devrez peut-être faire quelques recherches avant de discuter des options de traitement disponibles. Appelez votre assurance pour avoir une idée des programmes de traitement disponibles. Renseignez-vous sur les séances de thérapie individuelle ou familiale, les programmes thérapeutiques pour patients hospitalisés et externes afin de pouvoir discuter de toutes les options de traitement avec votre mari. Il est possible d'organiser une intervention psychosociale avec des amis, des membres de la famille et d'autres personnes qui se soucient de son bienêtre. Vous pouvez demander le soutien d'un spécialiste, si nécessaire. Cependant, soyez prudente, car les interventions psychosociales peuvent mettre votre mari en colère ou sur la défensive [14] . 7 Évitez de créer un plan d'action immédiatement. Votre conjoint pourrait vous dire qu'il arrêtera de boire, que ses actions néfastes ne se reproduiront plus jamais et qu'il veut changer. Tout cela pourrait être vrai, mais il se peut qu'il cherche un moyen d'éviter une conversation gênante. Créez un plan après avoir eu le temps d'assimiler tout ce qui a été dit au cours de la conversation et de réfléchir [15] . Après votre discussion initiale, planifiez un moment où vous pourrez en parler davantage, lorsque vous aurez eu le temps de réfléchir à la première conversation. Vous pouvez vous rencontrer pour discuter des mesures que vous adopterez ensemble, comme vous débarrasser des bouteilles d'alcool. 1Ne vous attendez pas à ce qu'il change du jour au lendemain. Si vous êtes contrariée après la discussion avec votre mari et n'avez pas trouvé de solution, soyez forte. Considérez vos propos, vos actions ainsi que votre soutien comme une étape importante pour faire comprendre à votre mari son problème de dépendance et l'inciter à se faire soigner [16] . Cependant, souvenez-vous que vous ne pouvez pas contrôler ses actions et que, au bout du compte, il est responsable de ses décisions. 2 Opposez-vous à son déni. Il est fréquent que les alcooliques surtout les grands consommateurs de boissons alcoolisées trouvent toujours de bonnes excuses pour leur comportement et prétendent qu'ils n'ont pas de problèmes d'alcool. Au lieu d'essayer de combattre le déni de façon rationnelle, approchez votre mari en entamant avec compassion un dialogue sur vos préoccupations [17] . S'il nie avoir un problème, dites-lui gentiment comment cette situation perturbe votre sommeil ou celui des enfants, qu'il est agressif ou méchant avec vous ou à quel point son alcoolisme vous affecte. 3Faites-lui savoir que son alcoolisme crée une distance entre vous. Si votre conjoint continue à boire même en sachant que cela vous fait souffrir, dites-lui que ses problèmes de dépendance à l'alcool interfèrent avec votre relation. Son penchant pour l'alcool affecte votre capacité à avoir une relation saine avec lui. Si vous dites de façon claire à votre époux que son alcoolisme crée de la distance dans votre relation, cela peut avoir un impact sur lui et sur vous [18] . 4 Ayez votre propre réseau de soutien. Vous devez prendre soin de vous. Il y a des gens à qui vous pouvez parler de cette situation et qui vous soutiennent. Ne gardez pas le problème de votre mari secret vous devez avoir au moins une personne à qui vous pouvez parler de vos difficultés. Il est important que vous ayez un soutien émotionnel lorsque vous faites face aux difficultés de la vie [19] . Parlez-en à vos parents, à vos frères et sœurs, à vos beaux-parents ou à vos amis. Ne vous concentrez pas uniquement sur son problème d'alcoolisme assurez-vous également de vous confier à des gens en qui vous avez confiance. 5 Déterminez si le mariage est dans votre intérêt. Si votre mari refuse de recevoir de l'aide et que vous avez de nombreux doutes quant au fait que les choses vont s'améliorer, vous devrez peut-être réfléchir à votre mariage pour savoir si sauver votre couple est ce qu'il y a de mieux pour vous. Si vous avez l'impression que son alcoolisme est plus important que la relation elle-même, il sera temps d'examiner vos options. Lorsque vous prendrez cette décision, vous devrez peut-être tenir compte de votre qualité de vie, de votre sécurité et celle de vos enfants. Posez-vous cette question quelle est ma meilleure option dans laquelle je me respecte et respecte ma famille ? » S'il est violent avec vous, faites passer votre sécurité avant toute chose. Vous méritez d'être traitée avec respect en tout temps et les alcooliques mettent rarement fin aux abus, car la violence peut devenir cyclique. 1 Évitez de boire en sa présence. Si vous buvez près de votre mari, il aura encore plus du mal à s'en sortir [20] . Évitez à tout prix de consommer de l'alcool en présence de votre conjoint. Assistez plutôt à des évènements sociaux où les boissons alcoolisées ne seront pas servies. Lorsque vous invitez des membres de votre famille ou des amis à des réceptions, dites-leur de rester sobres. Vous pourriez devoir changer un peu vos plans sociaux ou votre cercle social. Au lieu d'aller dans un bar ou de siroter du vin avec des amis, organisez plus de soirées jeux ou cinéma. Participez à des activités n'impliquant pas la consommation d'alcool. 2Demandez-lui de se renseigner sur les groupes de soutien locaux. Il existe des groupes comme Alcooliques anonymes qui aident les personnes qui souffrent d'alcoolisme. De plus, les membres importants sont toujours prêts à aider les nouveaux en leur apportant soutien et conseils. Si vous vivez en France, consultez cette page pour savoir si une réunion des Alcooliques anonymes se tient près de chez vous. 3 Rejoignez vous-même un groupe de soutien familial. Vous savez mieux que quiconque à quel point il est difficile de vivre avec un mari alcoolique. Ne préserver toute seule une famille unie avec quasiment aucune aide de votre mari peut être dur à vivre. Partager votre frustration avec d'autres personnes qui ont vécu la même situation que vous peut être un soulagement. Elles peuvent également vous soutenir et vous conseiller sur la façon d'y faire face et sur la façon dont elles ont surmonté cette période difficile. Il existe quelques groupes d'entraide qui apporte un soutien aux familles dont un membre est alcoolique. Faites une petite recherche sur Internet. 4 Envisagez une thérapie ensemble. Si votre conjoint hésite à suivre une thérapie individuelle, dites-lui que le fait de suivre une thérapie de couple serait utile pour vous deux ou que vous voulez suivre une thérapie familiale. Un thérapeute pourrait aider à faciliter la phase de récupération de votre époux et vous fournir à vous deux un soutien tout au long du processus. Vous pouvez vous faire orienter vers un psychologue par l'entremise de votre médecin traitant ou de votre assureur [21] . Vous devrez peut-être trouver un thérapeute spécialisé dans les dépendances ou l'alcoolisme. La thérapie pourrait inclure le traitement des causes sous-jacentes de la dépendance, l'apprentissage de méthodes efficace pour la gestion du stress, ainsi que les traitements médicamenteux. 5 Demandez-lui de consulter un centre de traitement. Aller dans un centre de traitement est une excellente idée pour un alcoolique avéré ou lorsque l'alcoolisme est accompagné d'un diagnostic psychiatrique comme la dépression ou l'anxiété ou d'un diagnostic médical. Il existe des programmes de traitement hospitalier et ambulatoire qui peuvent dépendre de votre couverture d'assurance [22] . Choisissez le niveau de soins qui convient le plus à votre famille et à votre conjoint. Si votre mari a subi un stress ou un traumatisme grave ou s'il souffre d'un trouble psychiatrique, un centre de traitement peut être plus approprié qu'une thérapie hebdomadaire en consultation externe. 6 Sachez qu'il peut avoir une rechute. Adoptez un plan pour faire face à toute rechute potentielle [23] . Il est fréquent que les personnes luttant contre l'alcoolisme soient enclines aux rechutes pendant le rétablissement. Mettez-vous d'accord sur un plan avec votre mari ou avec son équipe de soins pour faire face aux rechutes. Par exemple, vous pourriez l'éloigner de la situation ou appeler son thérapeute ou son mentor. 7 Soutenez votre mari. Si votre conjoint commence un traitement et fait des progrès, n'ignorez pas chaque étape franchie [24] . Si vous remarquez qu'il fait un effort, félicitez-le. Identifiez tout ce qu'il fait de positif et assurez-vous qu'il sache que vous reconnaissez ses progrès. Célébrez même les plus petits progrès. Soutenez votre mari et faites-lui savoir que vous serez avec lui tout au long du processus. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 33 044 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?

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